Un peu de lecture

 

Zecharia Sitchin – la douzième planète


Dans le second livre de son histoire, Hérodote rapporte ses conversations avec les prêtres égyptiens … qu’au cours des âges « historiques », et depuis que l’Egypte était devenue royaume, « quatre fois en cette période (c’est ce qu’ils m’ont déclaré), le soleil s’est levé contrairement à son habitude; deux fois, il s’est levé là où il se couche maintenant; et deux fois, il s’est couché là où il se lève aujourd’hui ‘ ».

– extrait du livre « Mondes en collision » de Immanuel Velikovsky

Donc, de mémoire d’homme, il y a eu au moins 4 inversions des pôles


 Je vais vous proposer un peu de lecture.

Précédemment, je parlais de Zecharia Sitchin. Il a traduit les textes des sumériens et a découvert qu’une comète – selon eux – entrait dans notre système solaire à tous les 3,600 ans.

Maintenant, j’aimerais vous parler de Immanuel Velikovsky.
Il a fait un travail colossal :
Il a rassemblé un paquet de textes anciens de l’époque de Moïse de partout dans le monde, écrits par des peuples qui ne se connaissaient même pas,  et il a découvert que les « dix plaies d’Égypte » ont affecté toutes les régions de la terre. De là est né son livre « Mondes en collision ».
Cela se passait il y a justement 3,600 ans.


Avant de continuer, posons-nous les questions suivantes :- Quelle valeur ont ces anciens textes – quelle crédibilité leur donner ?
Certes, il y avait à ces époques reculées des raconteurs et des amuseurs public, tout comme aujourd’hui. Mais il y avait aussi des chroniqueurs. Ettous ces textes, provenant de régions différentes, de la même époque et qui racontent les mêmes événements prouvent hors de tout doutes que ces récits sont vrais.

Or, selon Velikovsky, il y a eu un déplacement des pôles à l’époque de Moïse et un autre 52 ans plus tard à l’époque de Josué.

D’après Velikovsky, si les dégâts furent catastrophiques sur toute la planète lors du déplacement des pôles au temps de Moïse, ils furent beaucoup moins graves 52 ans plus tard à l’époque de Josué – ce qui démontre que d’une fois à l’autre – cela se passe différemment.

Pour en savoir plus sur Immanuel Velikovsky et sur « Mondes en collision »,
je vous propose un article du Sélection du Reader’s Digest – Livre condensé du mois – L’étonnante théorie de Velikovsky – Fred Warshofsky – mars 1976.

Si vous lisez le court article qui suit,
vous découvrirez que les pôles se sont déplacés
il y a 3,600 ans du temps de Moise ,
et aussi 50 ans plus tard, du temps de Josué.

 

 
 Mondes en collision
View more presentations from Ben Garneau

Au temps de Moise, le déplacement des pôles fut catastrophique partout dans le monde.
L’autre déplacement, celui du temps de Josué,
causa beaucoup moins de destructions.

Donc, d’une fois à l’autre, ce n’est jamais pareil.

Vous pouvez passer au mode « plein écran » pour faciliter la lecture en cliquant sur « Mondes en collision » en haut de l’image – bonne lecture …


 Et au cas ou vous voudriez télécharger le livre au complet ,

C’est ici

 


mondes en collision pdf

Found at ebookbrowse.com

Le monde rouge – Immanuel Velikovsky – Mondes en collision

Quelques extraits de ce livre – pourquoi l’eau s’est transformée en sang :
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Un corps céleste, tout récemment entré dans le système solaire – une nouvelle comète – s’approcha très près de la terre. On peut reconstituer le récit de ce cataclysme d’après les témoignages fournis par un grand nombre de documents.

La comète s’éloignait de son périhélie; elle heurta d’abord la terre de sa queue gazeuse. Dans les pages suivantes, je montrerai que c’est au sujet de cette comète que Servius a écrit : « Non igneo sed sanguineo rubore fuisse » (elle n’était pas d’un rouge feu, mais d’un rouge sang).

L’un des premiers signes visibles de cette rencontre fut la couleur rouge que prit la surface de la terre, sous l’influence d’une fine poussière de pigments couleur rouille. Dans les mers, les lacs et les rivières, ce pigment donna à l’eau la couleur du sang. Sous l’effet de ces particules, ou de quelque autre pigment soluble, le monde devint rouge.

Le Manuscrit Quiche des Mayas nous rapporte que dans l’hémisphère occidental, aux temps d’un grand cataclysme où la terre trembla et où le mouvement du soleil s’interrompit, l’eau des rivières fut transformée en sang

L’égyptien Ipuwer, témoin oculaire de la catastrophe, consigna sur le papyrus ses lamentations .

La peau des hommes et des animaux fut irritée par la poussière, qui provoquait des pustules, la maladie, et la mort du bétail, « une piste terrible  ». Les bêtes sauvages, effrayées par les présages du ciel, s’approchaient des villages et des cités  »

L’épopée finnoise, le Kalevala, décrit comment, au temps du bouleversement cosmique, le monde fut aspergé de lait rouge *. Les Tartares de l’Altaï parlent d’un cataclysme où « le sang colore le monde entier en rouge », et qui est suivi d’un embrasement général  . Les hymnes orphiques font allusion à l’époque où la voûte céleste, « le puissant Olympe, trembla de peur… et la terre tout alentour poussa un cri terrible, et la mer s’agita, soulevant des vagues pourpres

Les Babyloniens parlent également de la poussière et de la pluie rouges tombant du ciel « . Des cas de « pluie de sang » ont été signalés dans différentes régions ^’*. La poussière rouge, soluble dans l’eau, tombant du ciel sous l’aspect de gouttes liquides, ne se forme pas dans les nuages, mais doit provenir d’éruptions volcaniques, ou des espaces cosmiques. Il est généralement reconnu que la chute de poussière météorite est un phénomène qui se produit surtout après le passage de météorites; cette poussière se retrouve sur la neige des montagnes et dans les régions polaires

Dans son livre , Velikovsky explique  :
– que le monde est devenu rouge + les pluies de météorites + le pétrole qui tombait du ciel + les ténèbres qui ont recouvert la terre + le tremblement de terre mondial + un ouragan qui a souffé sur tous les pays + l’eau des océans qui s’est élevée comme des murailles + le déplacement des pôles … et plus encore.
Et le tout fut rapporté par plusieurs peuples de l’antiquité qui ne se connaissaient même pas.


Les opposants à la thèse de Immanuel Velikovsky

Beaucoup s’opposent à sa théorie.

Selon lui, la planète Vénus était un satellite de Jupiter qui a été « décroché » de son orbite par un corps céleste non identifié , qui est venu bousculer la planète Mars et qui a pris la place de son orbite.
Mars aurait « sauté » de la deuxième orbite et se serait positionné ensuite à son orbite actuel.

C’est dur à croire, effectivement.

Mais étudions quelques faits reconnus scientifiquement :

– Vénus est une planète plus jeune que les autres.
– il y a déjà eu des océans d’eau chaude sur Mars.
– Vénus est la seule planète du système solaire qui a son orbite dans le sens contraire des autres planètes.
– Vénus possède une queue de plasma qui pointe à l’opposé du soleil – exactement comme le fait une comète.

– en 1950, au moment ou il publiait son livre, les scientifiques s’attendaient à ce que Vénus soit une planète jumelle à la terre. Or, c’est une planète bouillante, le plomb fondrait à sa surface.
Vélikovsky avait annoncé d’avance la très haute température de Vénus.
Vénus est plus chaude que Mercure – qui est pourtant plus proche du soleil.

Un des satellites de Jupiter s’appelle Titan.
Or, il y a des lacs d’hydrocarbures liquides dans les régions polaires du satellite.
Velikovsky rapporte le récit que à l’époque des 10 plaies d’Égypte, il y avait des pluies de pétrole en feu – et ce fut rapporté par plusieurs peuples de l’antiquité.


 Les écrits de Velikovsky et de Sitchin sont complémentaires , en ce sens que Velikovsky ne connaissait pas l’oeuvre de Sitchin, qui a écrit plus tard. S’il avait connu le résultat de son travail et découvert qu’une comète revenait ;a tous les 3,600 ans , cela lui aurait servi dans ses travaux.


Les opposants à la thèse de Zecharia Sitchin

Concernant ceux qui s’opposent aux théories de Sitchin, le principal point de désaccord avec sa thèse est les annunakis, divinités extra-terrestres sumériennes , selon les écrits des sumériens.

Mais les extra-terrestres existent-ils ?

Des millions de témoins affirment avoir vu des OVNIS, il y a des photos et des vidéos en quantité phénoménale et la documentation est abondante sur ce sujet.

Pourquoi alors les récits des sumériens ne seraient-ils pas véridiques et comment auraient-ils fait pour inventer des histoires pareilles ?!?


Voici ce que répondrais aux opposants de la théorie de Velikovsky :
Vous avez peut-être raison.

Peut-être que Vénus n’est pas une ancienne comète , qu’elle na absolument rien à voir avec les dix plaies d’Égypte et que finalement,
Velikovsky est en erreur sur les causes des dix plaies d’Égypte.

En fait , peu importent les causes , ce sont les résultats constatés qui sont importants dans sa thèse.

Les résultats constatés étant les dix plaies d’Égypte , qui se produisirent sur toute la planète , tel que rapportés par les anciens écrits de plusieurs cultures de l’époque.
La méthode de travail de Velikovsky étant de rassembler tous ces anciens textes qui viennent de partout sur notre planète , de les comparer et de constater les similitudes.

Pareil pour l’époque de Josué.

Or,
Si des peuples qui ne se connaissaient pas ont écrit les mêmes choses ,
c’est donc qu’ils ont vécu les mêmes événements.



De plus,
certains soulignent la faiblesse de mon approche scientifique.

Je mentionne un peu plus haut que Mars a déjà eu des océans d’eau chaude – que Vénus est la planète la plus chaude du système solaire – qu’elle possède une queue de plasma qui pointe à l’opposé du soleil – exactement comme si c’était une ancienne comète – etla science n’a pourtant jamais fourni d’explication scientifique pour expliquer ces anomalies.

Donc, jusqu’à ce que la science trouve des réponses à ces questions , j’ai décidé d’accepter comme vraies les théories de Velikovsky en attendant mieux.
Et pourquoi pas – quand une théorie est plausible et qu’elle répond aux questions alors que la science ne le fait pas, elle mérite au moins qu’on l’étudie.

Après tout, n’est-ce pas cela avoir le sens de la recherche scientifique ?



Voici ce que je répondrais aux opposants de la théorie de Sitchin :

Que valent les connaissances des anciennes civilisations en astronomie ?

Les mayas – égyptiens – sumériens …
étaient-ils moins forts en astronomie que nous ?

Peut-on se fier à leurs connaissances ?

Voici un détail que vous ne connaissez probablement pas :

La constante de Ninive

La Constance de Ninive , c’est un nombre surprenant découvert sur des tablettes sumériennes en écriture cunéiforme – gravée avec un stylet en coin – mises à jour en 1873 par un jeune anglais nommé SMITH dans les environs de Mossoul près de Bagdad en Irak. Ce nombre sera appelé désormais appelé « la Constante de Ninive », du nom de la colline où fut découvertes ces tablettes dont le nombre était voisin, à l’époque, de 33 000.

Au nombre de 30,000, comme celles de Ninive, ces tablettes, dont l’âge est estimé à plus de 6,000 ans avant notre ère racontent avec force détails l’histoire de la Création.

Voici donc ce nombre = 195,955,200,000,000.

Je vais vous faire un résumé :

Un monsieur du nom de Maurice Chatelain découvre que les 2,268 millions de jours représentaient exactement 240 cycles de précession des équinoxes de 9,450,000 jours chacun de 86,400 secondes. Autrement dit le nombre de Ninive représentait pour les sumériens, 240 cycles de rotation des saisons autour de la bande zodiacale, mais exprimés en secondes de temps, au lieu de l’être en jours ou en années comme le font les astronomes modernes.

Ce nombre énorme, dit M.Chatelain, ne pouvait être autre chose que la grande constante du système solaire que les alchimistes, les astrologues, et les astronomes ont essayé de découvrir depuis près de 2000 ans, alors que, aussi extraordinaire que cela puisse paraître, leurs ancêtres la connaissaient depuis plus de 3,000 ans. Donc N = 240 x 9,450,000 x 86,400.

Donc, les astronomes sumériens calculaient l’orbite est astres  … en secondes.

De plus, Les Sumériens connaissaient les périodes de révolution et de conjonction de toutes les planètes, y compris Uranus et Neptune découvertes par nos civilisations en 1781 pour la première et en 1846 pour la seconde – !!!

En d’autres termes, le nombre sacré de Ninive représentait pour les sumériens 240 cycles de rotation des saisons autour de la bande zodiacale, mais exprimée en secondes de temps, au lieu de l’être en jours ou en années comme le font maintenant les astronomes modernes !

D’ailleurs , les anciens avaient a leur disposition des calendriers plus précis que nos calendriers modernes.
Donc – leurs informations sont très valables.

Compte tenu de ce qui précède,
Si les sumériens ont écrit que tous les 3,600 ans une comète entre dans notre système solaire,
et compte tenu de la fiabilité et de la précision de leurs méthode de calcul en astronomie,
pourquoi aurais-je encore un doute sur leurs informations ?


Pour terminer, voici un extrait du livre « Mondes en collision » écrit en 1950 :
Le rapprochement des deux globes chargés d’électricité a également pu produire des sons comparables à ceux de la trompette, et d’intensité variable selon que la distance entre eux augmentait ou diminuait 9. Il semble bien que ce soit ce phénomène que Pseudo-Philon appelle « le témoignage des trompettes entre les étoiles et leur Seigneur 10 ». Nous retrouvons ici l’origine de la conception pythagoricienne de la « Musique des Sphères », et de cette idée que les étoiles émettent une musique. En Babylonie les sphères des planètes étaient appelées « voix », et l’on supposait qu’elles produisaient des sons harmonieux 11. Selon les Midrashim, la trompe du mont Sinaï aurait eu sept notes différentes, et la littérature rabbinique parle de la « Musique Céleste », entendue à la Révélation. « Au premier son, le ciel et la terre bougèrent, les mers et les rivières s’enfuirent, les montagnes et les collines furent ébranlées dans leurs bases = page 59

Arès (Mars), dans l’Iliade, appelle Athénê « moustique ». « Les dieux s’entrechoquèrent avec un grand fracas, et la vaste terre retentit, et tout alentour, les cieux résonnèrent d’un bruit semblable à la trompette », et Arès s’adressa ainsi à Athénê : « Pourquoi, une fois encore, moustique, pousses-tu les dieux à lutter contre les dieux 12 ?… » = page 102

« Mais la discorde exerce sa rage effrénée sur les autres dieux… Ils fondent l’un sur l’autre avec un tumulte horrible. La terre en mugit… Le ciel immense fait retentir sa trompette … Zeus se repaît du spectacle de la guerre des Immortels. »Le ciel immense fait retentir sa trompette… Zeus se repaît du spectacle de la guerre des Immortels. »

Ces événements se sont produits au temps de Moise, il y a 3,600 ans.
Et 3,600 ans plus tard, on recommence à entendre ces mystérieux bruits de trompette à divers endroits de la terre.

3,600 ans … N’est-ce pas justement l’intervalle de temps entre 2 passages de Nibiru, tel qu’établi par Zecharia Sitchin ?
Ou simple coincidence ?